CHEMINEUR
les sentiers de l'émerveillement

2015








OCTOBRE :

- Course du munhoa.
LA VIDEO
; Pas envie de long, pas vraiment
envie de court, plutôt envie de montagne.
Franchement sceptique sur la forme,
c'est avec une appréhension un peu oubliée
que je me retrouvais sur la ligne de départ.
Au passage petit échange avec david que je ne
connaissais que par facebook.
Les 3 premiers kilomètres se font dans la souffrance.
ça monte un peu, ça descend un peu, tout le monde
court, et même si le ridicule ne tue pas....
En plus c'est chemin carrossable, pourvu que
ça soit pas comme ça tout du long.
Passage au Au 1er ravito, et attaque des 700+
qui sont la difficulté de la course.

Jusqu'à présent j'avais chaud, mais en grimpant
le vent et la météo qui change rafraichissent
l'atmosphère. La pente est carrément sévère.
Mais à allure régulière ça le fait. Le coin est
sympa est je me dis qu'il faudra revenir. Y' a
qu'une 1/2 heure de route en plus par rapport à la
rhune depuis bordeaux. Arrivée au sommet,
un peu de crètes ou le vent souffle violemment.

Puiis redescente un peu technique au début. La suite
et un long single plaisant à courir. Les sensations sont
pas si mauvaises et sans avoir "des jambes de feu"
je prends plaisir.

Et je garde un poil de gaz, au cas ou
une grosse bosse se présenterait. Finalement
moins de 2h15. Pas si mal.....
Une jolie petite course qui vaut bien 250 kms.



JUILLET

- A l'image de la météo, ces 3 pics
furent un peu morne. A la limite
cette phrase suffirait presque à
raconter cette course. Mais bon,
on va un peu développer.
52 kms et 3200+. En ligne.
LA VIDEO

Hébergement au "turmas", camp de base
de cyril pour ses préparations ultra,
situé sur la commune de saint-lary (ariège).
Particularité, la terrasse de la bicoque
est aux trailers ce qu'une terrasse
donnant sur la plage de malibu est
aux surfers, c'est à dire un rêve.....
Une heure de sommeil de gagnée
grace à la maman de cyril
qui nous conduit au départ
nous évitant 1h00 de navette.
Fait pas froid, mais fait humide.
Les organisateurs nous annoncent
que pour cause de patou (?) et
de brumes le paloumère et les crètes qui suivent
sont zappées. Moins 2 kms et
moins 200+.
Départ sur un bon rythme, je fais
la montée du pic de gar en compagnie
de cyril. Dans les sous-bois il fait chaud,
mais dès que nous approchons du sommet
à découvert, un peu de pluie et pas mal de vent
m'oblige à mettre ma membrane.

Cyril en profite pour filer à l'anglaise.
La descente est glissante et j'ai
du enlever mes lunettes qui se
couvraient de goutelettes de brume.
Galère..... Kilomètre 12, descente de
6 kms sur une piste bien roulante.
J'en profite pour remonter ma moyenne.
Kilomètre 18 ravito-relais. Et pas de cagire
à grimper. Conditions météo trop mauvaises
d'après le PGHM et hypothermie d'un bénévole??!!!
A suivre une demi-douzaine de kms sur piste.
Alternance marche et course sur ce faux-plat montant.
Tout ceci n'est guère excitant. Nous finissons
par rattrapper un joli single qui conduit
au second ravito-relais.
Je suis un peu désabusé par la tournure des évènements
et cette peut-être dernière course de l'année
ressemble de plus en plus à ce qu'a été cette saison;
Un brouet au gout d'inachevé..... Heureusement
que le challenge cathare est passé par là.
Dernière montée,

dernière descente,

je franchis la ligne
lorgnant déjà vers le futur, sans trop savoir de quoi
il sera fait.
Résultat, 7h23 pour 50 kms et 2500+ environ...
A suivre 14 jours de coupure dont 7 sans boulot.



- Traversera integral picos de europa :
la vidéo :
www.youtube.com/watch
le site de la course :
www.traveserapicos.com/
ça devait passer....
Départ vendredi 8h00 en compagnie
de stéphane et olivier.
5h30 de route, jusqu'à arenas de cabrales qui est le village d'arrivée
de la course. Passage à l'hôtel pourvérifier la réservation et laisser nos bagages si l'hôtel accepte.
(on a réservé pour la nuit 
de samedi à dimanche,
cette nuit on sera dans la montagne.)
C'est okay,
un soucis de moins.
Retrait des dossards.

Il est à peine 16h00.

Vu qu'on comprendra rien au briefing prévu à 19h00,
on part à covadonga village de départ de la course. 17h00.
Encore sept heures à attendre.
Tentative de dormir dans l'herbe sur un matelas de camping.

En vain. Mes deux compères semblent y parvenir un peu.
J'essaie
de ne pas trop penser.
Il pluviote, mais il ne fait pas froid, 16° environ.
A 0,7° par 100 mètres il devrait faire 2 ou 3° à 2300
mètres.
Heureusement il n' y a pas de vent.
Nous décidons de nous habiller, il n'est même pas 19h00 On sera pas en retard.
Pour tuer le temps nous montons au centre du village
qui est un lieu de passage vers compostelle semble t'il.
Ça me
fait penser à rocamadour.
A priori
, le départ n'a pas lieu au centre pour cette raison ? 20h30..
Retentative de
sommeil dans la voiture. En vain.
22h00 les premiers coureurs arrivent, l'arche
a été monté en vitesse. La sono balance du rock bien énervé.
Olivier et stéphane se font un plat de pâtes dans le resto
qui se trouve à 150 mètres du départ.
Je suis incapable de manger.

Nous nous retrouvons finalement sur la ligne de départ.
Nous rencontrons un autre français. Echange rapide.
La tension monte,
pendant un instant cette course
devient un trail comme les autres.

Highway to hell explose dans les enceintes,
le décompte en espagnol

me procure un moment d'euphorie.
Quatro, tres, dos, uno, cero, c'est parti...

1 kilomètre de goudron, puis entrée sur un single.
Ça bouchonne un peu. Mais ça ne dure pas.
j'ai pas l'impression de trainer, mais le terrain est gras, ça monte bien raide,

les appuis sont moyens. Arrivée au 1er ravito. 10 kms, 900+, 2h10.....
On a pas avancé...
Me reste 5h00 pour faire 17 kms, 1300+ et 1600-.
Déjà les choses m'échappent.

J'essaie de faire abstraction de ce qui m'attend.
La pluie a cessé, je vois les étoiles.
Je me dis qu'il va faire beau demain.
La température baisse, j'ai troqué le coupe-vent contre la veste imperméable.
Les
1er névés... Je croise 2 coureurs qui ont fait demi-tour, ça m'interroge.
J'ai doublé autant que je l'ai été.

Je reste prudent sur les névés.
Dans
la nuit j'ai du mal à estimer ou je suis par rapport au profil que j'ai tant regardé.
Je dois etre au point le plus haut.
Je traverse des champs de neige, en descente, J'assure pas des masses.
Heureusement qu'à la lueur de ma frontale je ne vois pas grand chose.
D'ailleurs, j'essaie pas vraiment de voir.
Un instant j'aperçois les lumières de covadonga, 2000 mètres en contrebas.
Je tombe, je glisse sur les fesses,
mais dans le noir je n'ose pas me laisser aller
à descendre jusqu'à la balise suivante et je freine des 2 pieds.

J'ai froid,aux pieds, aux mains. Je jette un oeil à ma montre,
je me sens mal à l'aise, perdu sur un terrain inconnu.
Est-ce que je peux passer la barrière horaire ?
Pour quoi faire d'ailleurs, pour me retrouver en galère après.
Et si je levais le pied? D'ailleurs est-ce que j'ai pas géré un peu trop, exprès? Inconsciemment?
Je sais qu'il n' y a que 2 endroits ou l'on peut prendre
une navette,
au 29ème kilomètres et au 56ème.
Je suis en train de me liquéfier.
Je savais que j'aurais à évoluer sur un terrain
que je trouverais hostile à cause de
mon inexpérience de la montagne, mais pas à ce point.
Je croise régulièrement des bénévoles emmitouflés dans leurs parkas
ou couchés dans leurs sacs de couchage.
Par contre le balisage est top... Heureusement.

Je tombe, sur le côté. Mon flanc heurte un rocher.
Je repars. Je double au milieu d'un névé 2 coureurs.
Le jour commence à pointer. J'atteins enfin el boquete.

Reste 6 kms jusqu'à Cain. Mais surtout 1600 de négatif.
La descente est raide, trop.

Ce serait au milieu d'un petit bois, je me lacherais.
Mais je suis incapable de faire abstraction du vide.
Je soigne toutes
mes poses de pied.
Un couple me dépasse, à l'aise, en quelques minutes ils sont 200 mètres plus bas....

J'ai baissé les bras.
Je me rends compte à quel point j'ai mal préparé cette course.

Je me dis que au moins, j'aurais dégrossi le terrain
et que je pourrais donner des conseils si d'autres ont envie de tenter l'aventure.
Le jour s'est levé, et j'essaie de profiter de ces 2 dernières heures de courses.
C'est vrai que c'est vertigineux.
La mer de nuages à mes pieds me rappelle les photos
à couper le souffle qui ornent le site de l'épreuve.
Regrets, soulagement, honte, frustration se bousculent dans ma tête.
Que cette descente est longue....
Je me dis qu'il pourrait pleuvoir, y avoir du vent....
Ce passage de 70 centimètres de large

à flanc de montagne, dans de telles conditions?
Et les premiers qui sont passés à 3h00 du matin?
Même avec une frontale qui éclaire comme
un phare,
en bondissant entre les obstacles, des extra-terrestres...
Je filme un peu, histoire de ramener quelques images de ces montagnes.

Arrivée à Cain.
Je rends mon dossard, et je vais m'assoir près du bus de retour.
J'envoie un texto à mon épouse et un à Cyril.
A peine 15 mns plus tard Olivier arrive.
Il a fait la descente en compagnie d'une locale,
à priori sur un bon rythme.
Mais sans lui faire injure, j'ai vraiment du me trainer....
Quest-ce que j'ai b...... ?
Avec le recul, soit j'avais rien dans les jambes,
soit j'ai 
inconsciemment mis le frein à main,
refusant comme un vieux canasson l'obstacle.
J'ai mis 7h40 pour faire le Montcalm, sans forcer...
42 kms 2700+.
Et aujourd'hui 7h35 pour

29 kms – 2300+ ?
Globalement,
les finishers sont tous passer en moins de 6h30.
Presque un tiers des coureurs n'ont pas été classés. Je sais pas....
1h30 de bus dans des paysages magnifiques.
J'aurais autant vu les pics d'europe depuis le bus qu'en course. Quelle misère.

Le chauffeur nous ramène spécialement à la voiture à Covadonga.
C'est sympa, ça nous évitera de prendre la navette demain matin.

En conclusion, mes chances de réussite étaient quasiment nulles.
A la limite de mes capacités physiques, peut-être au-delà de mes capacités techniques.
Plongée dans un environnement totalement inconnu,
je crois que J'ai été totalement inhibé.
Dans le même état qu'un boxeur de seconde zone
à qui l'on offre "la chance" de monter sur le ring face à mike tyson.
Je ne pense pas revenir sur la "travesera"
car ce serait malhonnête d'abuser de ma situation d'étranger
pour une chance de réussite hypothétique.
De plus je pense qu'il faut aller sur cette course avec un accompagnant si c'est possible.
Les 2 uniques navettes n'ont rien de rassurantes en cas de défaillance.

Si vous décidez de redescendre sur Cain,
il y' a de forte chance que plus personne ne soit là pour vous ramener.
A sotres départ de la traveserina, un accompagnant
vous
permettra un échappatoire avant la dernière grosse difficulté.
Cette sécurité supplémentaire, permet de se fixer un point
à atteindre qui n'est pas situé à 10h00 de Cain évitant
peut-être de jeter l'éponge précocement.
Et surtout
prévoir un hébergement dès l'arrivée à arenas de cabrales
afin de dormir ou tout du moins de se reposer dans de bonne condition
jusqu'à au moins une heure avant le départ.
Pas besoin d'être la plus tôt, il n'y a pas 2000 coureurs à passer par le sas.

Pour finir, si vous êtes costauds, foncez !
Il n'y a pas beaucoup de courses aussi extraordinaire....


MAI :

- Challenge cathare :
Jour 1 :
Au départ avec la sensation d'être à la rue.
De toute façon, l'objectif était de faire des bornes
et prendre du plaisir sur des chemins magnifiques.
Départ de padern, passage au château d'aguilar et ascension
du mont tauch au programme. Invité surprise le vent.
Des pointes à 100 kms/h, qui me firent garder mon
coupe-vent toute la journée. Pas vraiment de bonnes
sensations, du mal à relancer et la nécessité de lever la tête
pour penser à autres choses que mes jambes ramollos.
Au loin le canigou enneigé m'y aide bien. Je cours un peu en compagnie
de cyril qui se ballade et de romain. La montée vers le sommet
du mont Tauch est dure. J'ai oublié les batons
à Bordeaux. Je pense aux pics d'europe.
Dernier ravito, ou je vois christophe qui y est bénévole.
ça fait plaisir.
Je boucle les 45 kms et 2200+ en 6h48.
Parcours sympa. Cyril et soraya ont apprécié.
Je leur promets que demain ça sera encore mieux.
Mais peut-être un peu plus dur.
www.youtube.com/watch vidéo 1er jour.
jour 2 :
cucugnan - peyrepertuse - la quille -
quéribus - padern - cucugnan.
Papotage en attendant le départ conjoint
avec la course des seigneurs.
Ou l'on apprend que la boulangerie du moulin ferme à 13h00 le dimanche.
Tant pis pour le ravissement des papilles,
les gourmandises ne seront pas pour aujourd'hui.
7h00. Les fauves sont lachés. Pas les chevaux....
Départ tranquille, le souvenir mitigé d'hier
incite à la prudence.
Montée de la première bosse en douceur, suivie d'une descente bien raide
qui sera la dernière montée de la course ce soir.
(Dans mon esprit la fin de course sera plutôt ce soir).
Moins de vent qu'hier, le ciel plus franchement dégagé,
les premiers chemins plaisants me plongent enfin dans ces sentiers cathares.
Aujourd'hui est enfin aujourd'hui, et le poids des pics d'europe
qui me pesait depuis un bon moment s'envole enfin.
La montée vers peyrepertuse arrive rapidement, et s'avère une formalité.


Je pense en sortant de la citadelle à tous les gens qui ont contemplé d'ici la plaine à leur pied,
avec sans doute bien moins d'émerveillement que moi.
A suivre, les crêtes de la quille.
Aucune idée de la provenance de ce nom, mais ça vaut vraiment le coup d'y monter.
Que ce soit à droite ou à gauche le plaisir des yeux est bien présent.
Passages techniques, surplomb, cette partie est un vrai régal.
De toute façon cette course est un concentré de « ludicité » et de trail.
Descente dite de « la piste de ski », quelque chose comme 500- en deux kilomètres.
C'est marrant.
Trois kilomètres de piste avant d'attaquer quéribus.
Moins longs que dans mes souvenirs de 2012.
Je grimpe sur un bon rythme . Ça souffle fort en haut.
Depuis deux ans on rentre dans le château. Sympa.
Le vent que je trouve plus violent qu'hier sur le mont tauch gache un peu
l'appréciation du panorama depuis les crêtes qui surplombent la forteresse.
Dernier regard vers la tour de quéribus
qui irrésistiblement m'évoque un phare perdu au milieu des montagnes.


Descente , puis remontée vers un petit col dont j'ai oublié le nom.
Padern arrive vite sans aucune sensation de lassitude.
Le chemin qui descend vers le village est un régal
et il faut que je mette le frein à main pour ne pas me laisser emporter par l'euphorie.
Passage au pied du château et dernier ravito.
Traversée d'une rivière à l'eau cristalline qui donne envie de se tremper les pieds.
Petit coup de mou, sur une portion de piste qu'un début de fatigue rend un peu ennuyeuse.
ça ne dure pas, la configuration du terrain redevenant rapidement plaisante.
Dernière bosse, raide, mais qui passe bien. Puis descente vers cucugnan
ou je me laisse aller à forcer l'allure. 51 kms - 3200+ en 8h49 sans piocher.
Une journée de plaisir intense. C'était encore mieux que dans mes souvenirs.
Le top de la course de moyenne montagne, sur des chemins chargés d'histoire.
Soraya et cyril sont arrivés il y' a quelques instants et semblent ravis de leur journée.
Vu que je leur avais vendu le truc, ça me soulage.
Dernier échange avec romain avec qui j'ai fait quelques bouts de chemin,
un petit merci à béatrice l'organisatrice  pour nous avoir offert cette belle épreuve
et retour vers bordeaux, la tête remplie de «satisfaction».
Sans oublier les échanges rapides mais sympas avec christophe, yvan et michel.
www.youtube.com/watch vidéo 2ème jour.




MARS :


- Black mountain trail :
Bonne surprise le soleil est au RDV.
Sur la ligne de départ à 7h00, il ne fait pas chaud.
Une grosse centaine de coureurs attend le départ
pour se réchauffer. Autour de nous les
montagnes noires s'illuminent dans le soleil levant.
Le départ est donné et ça part vite.
La 1ère boucle est d'un intéret limité.
Montée sur un large chemin de croix, passage
dans un bois, et fin de redescente vers le village
sur route. Traversée de lotissement, encore pas mal
de goudron. On finit par attaquer la partie vraiment
trail. Une belle bugne de 550+ plutôt raide.
Rythme soutenu tout du long. Arrivé en haut,
un coca et descente vers saint-amans.
La montée et la descente ont été plaisante
à courir.
Kms 18. 900+ en 2h20.  Attaque de la partie
commune avec le 32 kms et ascension par
palier jusqu'au pic de nore qui culmine
à 1211 mètres. J'ai vite l'impression
d'être scotché. La plupart du temps
ça monte pas raide. Mais je me contente
de marcher vite. C'est frustrant.
Je profite de la neige toujours présente
qui brille sous le soleil. Je finis par arriver
en vue du sommet.

La clarté de l'atmosphère permet de voir
la quasi totalité des pyrénées enneigées.
C'est magnifique. Je prends 2 minutes pour apprécier.


Je me sens un peu cuit. Je suis dans les clous pour
finir en moins de 7h00 mais faut pas que je traine.
Une boucle au sommet, un AR et descente vers l'arrivée.
800 de négatif en 7 kilomètres.

Finalement pas si mal j'accélère et je m'applique
à descendre rapidement. Un moment d'inattention
et seconde gamelle. Entre la boue et le sang
je dois pas être jojo à voir.
Finalement 6h18. Bien sur y' avait un peu moins de 49 kms
mais je suis bien au dessus des 7km/h espéré.
Sinon un peu trop de ravito et un peu trop de goudron
au départ.
Heureusement que la neige et le soleil étaient là
pour rendre le truc agréable. Surement possible
de hausser l'intéret du parcours.
En tout cas, week-end sympa en compagnie des barjots.
la vidéo :
www.youtube.com/watch
























 

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